Saviez-vous que la génétique et les comportements acquis se partagent à égalité le risque de développer un trouble lié à l'utilisation de l'alcool (TLUA) ?
En effet, "la génétique explique environ la moitié du risque de développer un TLUA et les comportements acquis en expliqueraient l’autre moitié." intringuant, non ? 🧪
Certains gènes comme ALDH2, ADH1B et ADH1C, responsables de la métabolisation de l'acétaldéhyde (un produit de la dégradation de l'alcool), sont particulièrement pertinents ici. 👇
Des variations spécifiques peuvent rendre la consommation d'alcool moins agréable, offrant ainsi une certaine protection contre le TLUA 🛡️.
🎭 Cependant, cette monnaie a deux faces. Ces mêmes gènes peuvent aussi augmenter le risque de certains cancers ou maladies cardiaques pour une même exposition.
Ainsi, si vous ressentez des réactions désagréables après avoir consommé de l'alcool - comme des nausées, des maux de tête, une accélération du rythme cardiaque ou un rougissement du visage, cela pourrait indiquer une susceptibilité génétique à l'accumulation d'acétaldéhyde.
🚨 Pour les personnes à susceptibilité augmentée, même une faible consommation d'alcool pourrait entraîner un risque accru de maladies ou de cancers liés à l'alcool. Il est donc crucial de redoubler de prudence.
La science de la génétique est un domaine en constante évolution, et alors que nous commençons à démêler certains mystères, il est important de se rappeler que la modération et la connaissance de soi sont nos meilleurs alliés.
Peu importe les résultats de la "loterie génétique", la modération est toujours la meilleure option notamment par une consomamtion raisonnée à l'écoute de ses sensations/intuition et non émotions (pas évident d'en démmeler les différences chez des sujet présentant des TLUA).
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